L’olivier a été introduit en Provence par les Grecs. On consomme ses fruits, les olives, de diverses façons : vertes ou noires, “cassées” ou confites… mais, surtout, depuis l’Antiquité, on en tire une huile excellente. Vierge, en première pression à froid, elle donne goût aux salades ou à certaines préparations comme la tapenade ou l’aïoli. Ici, elle a longtemps été le principal corps gras utilisé pour les plats cuisinés et même certaines pâtisseries.
Comme pour les vins, il existe autant d’huiles d’olive que de terroirs avec chacune un goût, une couleur et des qualités qui lui sont propres. Certaines bénéficient d’une A.O.C. (Appellation d’Origine Contrôlée).
Huile d’olive de Nyons (depuis 1994)
Huile d’olive de la vallée des Baux-de-Provence (depuis 1997)
Huile d’olive d’Aix-en-Provence (depuis 1999)
Huile d’olive de Haute-Provence (depuis 1999)
Huile d’olive de Nîmes (depuis 2004)
Huile d’olive de Nice (depuis 2004)
Huile d’olive de Corse – Oliu di Corsica (depuis 2004)
Huile d’olive de Provence (depuis 2007)